Cycle « Renouveau du Cinéma Italien »

Par Christelle, le 14 décembre 2015

Cycle en décembre 2015 et janvier 2016

A partir de cette semaine, notre cycle « Le Renouveau du Cinéma Italien » commence par la projection de « Mia Madre » de Nanni Moretti.

En janvier 2016 il se poursuit par la présentation de 4 films sur 4 semaines : « Contes Italiens » de Paolo et Vittorio Taviani, « Mezzanotte », 1er film de Sébastiano Riso,  « La Grande Bellezza » de Paolo Sorrentino, « Vierge sous Serment », 1er film de Laura Bispuri.

Les soirées des jeudis 7, 14 et 21 janvier 2016 seront animées par Rochefort Sur Toile.

Le jeudi 28 janvier, présence d’une spécialiste du cinéma italien Francesca Veneziano qui sera présente pour échanger avec le public, la séance sera suivie d’un pot offert au public.

Lieu : Apollo Ciné 8 – Rochefort

L’APOLLO ciné 8 propose un PASS 4 FILMS à 16 euros.
Tarif unique
: 6 euros
Prévente des billets au cinéma

Détails sur le film « Mia Madre »

Avec Margherita Buy, John Turturro, Giulia Lazzarini
Année : 2015
Durée : 1h47

Synopsis

Margherita est une réalisatrice en plein tournage d’un film dont le rôle principal est tenu par un célèbre acteur américain.
À ses questionnements d’artiste engagée, se mêlent des angoisses d’ordre privé : sa mère est à l’hôpital, sa fille en pleine crise d’adolescence. Et son frère, quant à lui, se montre comme toujours irréprochable…

Margherita parviendra-t-elle à se sentir à la hauteur, dans son travail comme dans sa famille ?

Critiques

« […] Moretti a bien fait de ne pas être au premier plan. En misant sur le face à face entre Marguerita Buy (toujours juste) et Guilia Lazzarini (une grande dame du théâtre italien), il parvient à témoigner de choses très personnelles, avec le souci constant de les recouvrir d’universalité. Tout ce qui touche aux premiers signes du déclin, au séjour à l’hôpital, aux souvenirs et à l’oubli, est traité de manière à la fois simple et sensible. Sans faux pas. A la fin, il est difficile de réprimer ses larmes.[…] »
Jacques Morice – Télérama – Voir la critique complète

« […] Son cinéma, même quand on le pense figé dans des tics habiles de vieux renard, continue d’évoluer, et son art sans faille de l’épiphanie remplace ici les ficelles du mélo. Si l’on pleure, ce n’est pas (pas seulement) comme l’enfant qui regrette sa maman, mais c’est de partager de ce qui ne va pas de soi : l’absence dont on vient et la promesse d’en finir. »
Didier Péron et Clément Ghys – Libération – Voir la critique complète

Et interview de Nanni Moretti sur le film

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