Week-end Musique & Cinéma – Vincent Lafont le 9 décembre à 20h30 – Coupe d’Or
Vincent Lafont, accompagné de Guillaume Poncelet, sera samedi 9 décembre à 20h30 sur la scène du Théâtre de la Coupe d’Or pour un ciné-concert exceptionnel.
Pianiste, claviériste, compositeur et arrangeur, ayant débuté par le violon et la musique classique à l’âge de 7 ans, sa formation s’accomplie notamment entre le CNR de Marseille (1994-1996) et le CNSM de Paris (2001-2004).
Ses activités se partagent entre interprétations, accompagnement et écriture, occasionnellement l’enseignement.
Parcours
A 44 ans, ses nombreuses expériences , dans des contextes musicaux très variés, l’ont amené à croiser la route de musiciens(nes) ou chanteurs(euses) reconnus(es) (Erik Truffaz,Youn Sun Nah, Malia,Louis Sclavis entre autres), et lui ont permit de développer des compétences multiples, ainsi qu’un son personnel au piano électrique et aux claviers.
Cette personnalité s’est exprimée depuis 2007 dans le groupe de Laurent Robin les « Sky Riders », l’Orchestre National de Jazz Daniel Yvinec (2009-2014) (lien vers la vidéo Discover(s)/« Dark Side of the Moon »), le groupe de Vincent Artaud, rencontré avec l’ONJ, le Magic Malik Orchestra, groupe emblématique du flûtiste Malik Mezzadri. Egalement le groupe « S » du chanteur violoniste Yann Gael Poncet, le projet « Tilt » du flûtiste (et vieux compagnon) Joce Mienniel. Egalement dans des projets occasionnel avec le compositeur Arnaud Petit, ou plus récemment pour le théatre (« Lulu », avec la compagnie l’Heliotrope).
Depuis 2015 ses activités se sont concentré sur le piano électrique, traité à l’aide d’effets en tous genres. C’est un passionné des instruments électroniques et informatiques, qu’il utilise parfois sur le piano acoustique (« Mare Album », avec la chanteuse Emmanuelle Bunel, en 2016).
2016 est enfin l’année de lancement de nouveaux groupes de jazz jouant une musique originale, avec 2 projets personnels, après de longues années d’absence à ce niveau :
un duo/ trio électro-jazz, où un clavier sombre et répétitif, dans un style proche de John Carpenter, dialoguerait avec un piano électrique, une batterie et un instrument à vent invité ; un réel projet jazz « SCIFI » propre à la démarche de Vincent Lafont au Fender Rhodes.
Deuxième groupe : un trio « piano-basse-batterie » , forme classique dans la musique de jazz (Lillian Bencini et Cedrick bec en forment la rythmique), renouant avec un genre plus connu,
mais qui sera aussi la base d’un projet plus large (compositions, propositions musicales, formations multiples ).