Soirée débat « C’est quoi ce travail » – vendredi 8 avril 2016 à 20h15
Projection et débat autour du film documentaire « C’est quoi ce travail ? »
Deux travails se rencontrent. Celui des salariés de l’usine. Prescrit et standardisé, entièrement tourné vers la production. Celui de l’artiste, qui fait confiance à l’intuition et s’invente chemin faisant. Cette rencontre questionne le travail en général. C’est quoi le travail ? Qu’est-ce qui fait travail ?
Lieu : Apollo Ciné 8 – Rochefort
Tarif unique : 6 euros
Prévente des billets au cinéma
Détails sur le film « C’est quoi ce travail ? »
Réalisation : Luc Joulé, Sébastien Jousse
Avec Nicolas Frize
Année : 2015
Durée : 100min
Synopsis
Ils sont au travail. Les salariés d’une usine qui produit 800.000 pièces d’automobile par jour et le compositeur Nicolas Frize dont la création musicale s’invente au cœur des ateliers. Chacun à sa manière, ils disent leur travail. Chacun à sa manière, ils posent la question : alors, c’est quoi le travail ?
[vimeo 139214561 w=500 h=281]
C’EST QUOI CE TRAVAIL ? – Bande annonce from Shellac Sud on Vimeo.
Les critiques
« […] Ce formidable documentaire fait mieux que filmer une simple expérience : il contemple, donc, le « travail », dans son essence même : un dialogue incessant entre celui qui crée et ceux qui fabriquent. […] »
Cécile Mury – Télérama – voir la critique complète
« […] Subtil et sans parti pris, le documentaire restitue à merveille l’ambiance du travail à la chaîne, superposant une voix-off sur des gestes devenus mécaniques. […] »
Valentin Pimare – L’Express – voir la critique complète
« […] On voit très crûment la dissymétrie de conditions entre l’intellectuel et le travailleur manuel sans que l’on sache tout à fait ce que l’expérience artistique en cours entraîne de bienfait, de prise de conscience, de mélancolie aussi dans l’évidente disparité et profondeur des pratiques. […] »
Didier Péron – Libération – voir la critique complète
« […] Alors qu’Alain Cavalier, dans ses Portraits réalisés à la fin des années 1980, guette les traces d’années de travail et de savoir-faire sur les êtres, ce sont les traces de l’être dans le travail qui sont ici sondées, dans une intimité plus âpre et engagée. […] »
Marie Soyeux – La Croix – voir la critique complète
« […] Alors qu’Alain Cavalier, dans ses Portraits réalisés à la fin des années 1980, guette les traces d’années de travail et de savoir-faire sur les êtres, ce sont les traces de l’être dans le travail qui sont ici sondées, dans une intimité plus âpre et engagée. […] »
Marie Soyeux – La Croix – voir la critique complète