Du mercredi 14 au mardi 20 mai 2025 à l’Apollo Ciné 8

Par DidierR, le 13 mai 2025

Cette semaine, deux nouveaux films recommandés « Art & Essai » arrivent sur les écrans de l’Apollo de Rochefort : un film japonais réalisé par un singapourien, avec Catherine Deneuve :  YOKAI, LE MONDE DES ESPRITS de Eric Khoo, et un film français CASSANDRE de Hélène Merlin

Signalons que le film qui a fait l’ouverture de Cannes 2025, PARTIR UN JOUR d’Amélie Bonnin (avec Juliette Armanet), est à l’affiche dès mercredi 14 mai. Mais il n’est pas encore « recommandé Art & Essai ».

A noter : le film de Claude Lelouch UN HOMME ET UNE FEMME (1966), est projeté encore cette semaine : 3 séances (jeu, ven, lun. à 17h50)

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YOKAI, LE MONDE DES ESPRITS.

Dans le cadre du festival « ROCHEFORT EN JOIE »  « . Première séance : Vendredi 16 mai à 20h15. Autres séances : dim. et mardi à 18h, lundi à 20h30.

Qu’est ce que « Yokai » : Yokaï – dossier explicatif

un film franco-japonais-singapourien, d’Eric Khoo – 2024 (1h34) avec Catherine DENEUVE, Yutaka Takenouchi, Masaaki Sakai, Jun Fubuki.

Synopsis :

Claire, une célèbre chanteuse, s’envole au Japon pour un dernier concert à guichet fermé. Lorsque le concert prend fin, sa vie sur terre s’arrête aussi. Une nouvelle vie inattendue s’offre alors à elle : un au-delà dans lequel Yuzo, l’un de ses plus grands fans, l’attend

CASSANDRE

Film dramatique français d’Hélène Merlin (2024 – 1h44) avec Billie Blain, Zabou Breitman, Eric Ruf, Florian Lesieur (Film Int.-12 ans)

Synopsis :

Été 1998. Campagne. Cassandre a 14 ans. Dans le petit manoir familial, ses parents et son frère aîné remarquent que son corps a changé. Heureusement, Cassandre est passionnée de cheval et intègre pour les vacances, un petit centre équestre où elle se fait adopter comme un animal étrange. Elle y découvre une autre normalité qui l’extrait petit-à-petit d’un corps familial qui l’engloutit.

Réalisatrice de Cassandre, Hélène Merlin met en scène son propre vécu dans son premier long-métrage. Face à la gravité de son récit, la cinéaste pense son film comme un conte noir marqué par son humour et sa volonté de vie. Dans Cassandre, Hélène Merlin s’affranchit de certains codes du cinéma pour accentuer certains aspects de son histoire. En effet, pour incarner la notion d’intrusion, la cinéaste va briser le quatrième mur en utilisant une voix off ou encore des regards caméra. 

La chambre de Mariana

Film dramatique d’Emmanuel Finkiel (film France/Hongrie/Israël – 2024-durée : 2h11) avec Mélanie Thierry et Artem Kyrie. Langues parlées : Ukrainien, et Allemand.

Synopsis : En 1943, en Ukraine, Hugo a 12 ans. Pour le sauver de la déportation, sa mère le confie à son amie d’enfance Mariana, une prostituée qui vit dans une maison close à la sortie de la ville. Caché dans le placard de la chambre de Mariana, toute son existence est suspendue aux bruits qui l’entourent et aux scènes qu’il devine à travers la cloison…

  • Avec La Chambre de Mariana, Emmanuel Finkiel met en images le roman éponyme d’Aharon Appelfeld. L’auteur a vécu pendant quatre ans dans la forêt, séparé de ses parents à cause de la guerre. Au cours de sa survie, il rencontre des prostitués qui lui inspirent son livre. « On peut imaginer que Mariana est une sorte de portrait cubiste de plusieurs femmes, voire plusieurs hommes. Tous ces gens croisés ont contribué à maintenir Appelfeld en vie et à ne jamais tarir son espoir », déclare Emmanuel Finkiel.

Bande-annonce :

Un monde merveilleux

Comédie française de Giulio Callegari, avec Blanche Cardin, Angélique Flaugère (2024 – 1h18)

Synopsis :

Dans un futur un peu trop proche où les humains dépendent des robots, Max, une ancienne prof réfractaire à la technologie, vivote avec sa fille grâce à des petites combines. Elle a un plan : kidnapper un robot dernier cri pour le revendre en pièces détachées. Mais tout dérape. Flanquée de ce robot qui l’exaspère, elle s’embarque dans une course-poursuite pour retrouver sa fille et prouver qu’il reste un peu d’humanité dans ce monde.

  • C’est l’image d’un robot qui tombe qui a fait naître l’idée d’Un monde merveilleux à son réalisateur Giulio Callegari. Face à la rationalité du robot, le cinéaste lui oppose un personnage désabusé et ironique, interprété par Blanche Gardin.

Extrait (Teaser) :

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